(Première partie)Lorsque je suis dans une rue j’ai une fâcheuse tendance à regarder en l’air (ça peut valoir quelques surprises au sol…), à l’étranger j’en profite encore plus.
Qu’est-ce qui attire mon regard: les balcons, leurs garde-corps, leurs ferronneries, leurs sculptures, les consoles, les fleurs et plantes qui y ajoutent une touche bucolique, comme celui-ci au-dessus, que je trouve très joli!
Non seulement ils sont de toute beauté mais en plus, de certains se dégage une telle poésie. En Sicile il fait vraiment bon avoir le nez en l’air, on peut y découvrir des merveilles, jugez par vous-même!
De Pozzallo à Taormina (le Saint-Tropez sicilien, dit-on):
Pozzallo, celui aux volets émeraude
Taormina, ruelle aux petis balcons
Taormina, celui au jasmin
Taormina, le sèche-linge
Taormina, celui aux ampoules
Taormina, celui au dragon qui veille
Taormina, celui au bougainvillier
Taormina, celui à l’horloge
Taormina, celui aux pots en terre
Taormina, celui aux cactées
Taormina, celui aux briques rouges
Taormina, l’ombragé aux trois pots
Taormina, l’accueillant
Taormina, les délaissés
Taormina, celui aux jardinières en céramique sicilienne
Taormina, celui à l’enseigne et aux céramiques siciliennes
Taormina, celui à la lessive de blanc
Balcon aux poteries typiques siciliennes
En attendant de vous montrer une deuxième série de balcons, un peu différents, moins verdoyants, mais tout aussi beau,
avez-vous une préférence pour l’un entre eux?